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Critique Wandavision Saison 1 : How I Met The Mcu

Critique Wandavision Saison 1 : How I Met The Mcu
Critique Wandavision Saison 1 : How I Met The Mcu

Agréablement surpris par cette sympathique saison de WandaVision (notre critique du flavour premiere), on émet cependant quelques réserves sur la première série du MCU.





Wanda Maximoff et Vision se sont retirés dans le petit hamlet de Westview mais les apparences sitcomiennes cachent de lourdes révélations… Pour sa première série, fifty’univers cinématographique Marvel met le paquet, en résulte un ovni balayant toute la compétition télévisuelle sur son passage, WandaVision. Pourtant, le résultat n’est pas aussi novateur qu’il semblait 50’être.





Critique WandaVision saison 1 : How I Met The MCU
©facebook/wandavisionofficial




Suite à la fermeture de Marvel Television, Marvel Studios fait ici ses premiers pas dans le petit écran et s’offre, en seulement quelques semaines de diffusion, le record de la série la addition regardée dans le monde. Un succès pour le studio aux grandes oreilles et la créatrice Jac Schaeffer, déjà en accuse de fifty’écriture de Captain Marvel ou de Black Widow. De quoi étendre l’univers des Avengers tout en développant (un peu) celui de la Sorcière Rouge. Sans trop second’enflammer, en préparant mine de rien à la suite de Doctor Strange.





Belle proffer





Si on commence déjà à sortir les fusils pour tirer (gentiment) sur 50’ambulance, il faut bien reconnaître que WandaVision est une série très sympathique. Déjà, la série brille par boy format courtroom, avec des épisodes de thirty minutes à la diffusion hebdomadaire, lequel ne souffre d’aucune faute de rythme tout en se laissant dévorer de façon addictive. Ensuite, la véritable réussite de la série demeure le dyad Elizabeth Olsen et Paul Bettany qui débordent d’alchimie communicative tout en proposant un angle singulier à deux Avengers tristement trop secondaires. Le distich trouve ici une incroyable opportunité d’explorer la psyché de ces personnages en y développant la notion de deuil comme rarement un produit Marvel (ou Disney) ne s’y serait risqué.





A couvert d’un ton humoristique, WandaVision approche de façon mesurée et pertinente la perte du thou amour, avec un 1000 A. D’habitude très insignifiante dans le MCU, les personnages ne trépassent jamais véritablement, la mort est ici maîtresse de maison, omniprésente. Subversive, elle pousse un personnage enjoué dans ses retranchements et définit de tendres considérations dans des élans émotionnels par second épatants. De ce fait, les étapes du deuil sec’affichent ici de façon détournée, à tel betoken que le déni, la colère, le marchandage ou la dépression s’accompagnent d’élans comiques pour contrebalancer ce sujet sérieux. Un processus d’acceptation, malheureusement entaché par 50’absence de conséquence, mais qui se reflète jusque dans fifty’évolution formelle du exhibit, lequel trouve sa grande force dans une forme atypique, qui sec’amuse de jolis hommages rétro.





Critique WandaVision saison 1 : How I Met The MCU
©facebook/wandavisionofficial




Construit comme une sitcom avec une intrigue bouclée, le present sec’aventure petit à petit vers le feuilleton pur et dur, fort de ses références appuyées et maîtrisées aux différentes époques télévisuelles. Si fifty’on conform les aventures, pénibles, du SWORD, la focalisation principale de la série, celle du pair WandaVision, s’articule autour de l’âge d’or de la télévision américaine. Ainsi chacun des premiers épisodes suggest un retour chronologique sur les grandes séries familiales emblématiques, comme un doux retour dans le temps. De belles madeleines de Proust avec lesquelles on passe de séries en noir et blanc telles que The Dick Van Dyke Show en 1950 ou Ma sorcière bien-aimée en 1960 aux sitcoms en couleurs comme Sacrée Famille pour 1980 ou Malcolm pour les années 90. Une belle prouesse où les plateaux et décors évoluent d’épisode en épisode, permettant au réalisateur Matt Shakman de sec’éclater comme jamais avec une mise en scène délicieusement nostalgique.





Pauvre Vision d’ensemble





Cependant, cette inventivité inspirée sur le papier peine à pleinement sec’assumer et psyche parait bien artificielle. D’originale, WandaVision revient finalement sagement dans les carcans d’une production parfaitement lissée par son studio sitôt les premiers épisodes digérés. A tel signal que la série se termine en ayant certes évoqué le deuil de Wanda, mais sans que cela ne porte à conséquence sur le reste de la série, les personnages secondaires demeurant tragiquement anecdotiques. A fifty’instar des manipulations de Wanda, la forme du demo devient presque méta et la réalisation de cette sitcom n’appose finalement qu’une poudre aux yeux sans K intérêt aux spectateurs. Un envoutement en guise de carotte pour psyche amener gentiment vers un nouveau produit Marvel déguisé.





Critique WandaVision saison 1 : How I Met The MCU
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Ainsi, les premiers épisodes détonnaient en s’adressant aux summation novices d’entre brain, mais très vite les easter-eggs et références à l’univers Marvel se font légion. Entre Randall Park qui réussit enfin un tour de carte, le retour épileptique de Kat Dennings ou 50’introduction de Teyonah Parris en filleule de Captain Marvel, il ne manque plus que la présence paradoxale de Evan Peters en Quicksilver pour atteindre des sommets de fan-service réservés aux connaisseurs les plus aguerris. De même, le postulat initial second’efface à mesure que fifty’intrigue secondaire, à savoir l’enquête extérieure menée par le SWORD (des Agents of SHIELD discount) pour contrer fifty’omnipotence de Wanda et récupérer Vision mind enferme dans un nième scénario poussif du MCU avec de méchants bureaucrates et des bastons de CGI.





En résumé WandaVision tente de briller en proposant un discours inédit et une forme originale, malheureusement trop vite rattrapés par la mainmise d’un studio qui n’a de cesse de polir la moindre aspérité de chacun de ses produits, aussi sympathiques soient-ils.





WandaVision est disponible sur Disney+